Pasaia

Galerie de monstres, parades musicales, abîmes d’un espace-temps mystifié, grand cirque convulsé des saisons, cette exploration filmique nous plonge dans un monde très éloigné, où la mythologie basque s’immisce dans des paysages intemporels, où les coutumes et croyances convergent vers un rituel carnavalesque, symbole du cycle du temps.

Monsters gallery, musical parades, abyss of a mystified space and time, a great season circus convulsed, this filmic exploration immerses ourselves into a very distant world, where Basque mythology weave its way into timeless landscapes, where customs and beliefs converge towards a carnivalesque ritual, symbol of the cycle of time.

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Giulia Grossmann : En combinant l’approche ethnographique à celle du cinéma, ses films témoignent d’une démarche d’accueil, de porosité au contexte qui en font des projets éminemment expérimentaux. En filigrane, chacun de ses films questionnent notre manière d’habiter la terre en mettant en relation l’Homme à l’espace qui l’environne ; des montagnes basques, au désert du Mexique, des volcans Islandais à l’espace qui nous sépare de la planète Mars…

Giulia Grossmann: By combining an ethnographic approach with that of cinema, her films bear witness to an approach of welcoming, of porosity to the context which make them eminently experimental projects. Implicitly, each of his films questions our way of inhabiting the earth by relating Man to the space that surrounds him; from the Basque mountains, to the Mexican desert, from the Icelandic volcanoes to the space that separates us from the planet Mars…