Les centrales électriques domestiquées ne pourrissent pas

Les centrales électriques domestiquées ne pourrissent pas est basé sur le contexte fictif du système électrique de Zhanjiang, la ville la plus méridionale de Chine continentale, ainsi que le paysage écologique non humain associé à ce système. En suivant la trajectoire du porte-parole non humain, un insecte lumineux, les vidéos explorent différentes perspectives, telles que l’infrastructure électrique clignotante, les lignes à haute tension monumentales, le bureau du consul français à Zhanjiang, et une graine aliénée géante. Le film vise à construire une archéologie du paysage électrique, créant ainsi une fiction artistique du système énergétique pour retracer les traces de cette énergie naturelle, à la fois invisible, potentiellement dangereuse, et dotée d’une puissance surprenante. Dans une optique suspendue, à la fois mystérieuse, policière et analogique, le regard non humain pénètre le paysage géographique de l’infrastructure électrique, initiant une croisière qui explore l’évolution de la mobilité techno-sociale humaine.

The domesticated power plants don’t rot aims to construct an archaeology of the electrical landscape, thus creating an artistic fiction of the energy system to trace the traces of this natural energy. In a suspended, mysterious, detective, and analogical perspective, the non-human gaze penetrates the geographical landscape of the electrical infrastructure, initiating a cruise that explores the evolution of human techno-social mobility. The film aims to construct an archeology of the electrical landscape, thus creating an artistic fiction of the energy system to trace the traces of this natural energy, at once invisible, potentially dangerous, and endowed with surprising power. In a suspended perspective, at once mysterious, police and analog, the non-human gaze penetrates the geographical landscape of the electrical infrastructure, initiating a cruise that explores the evolution of human techno-social mobility.